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Un donut pour parler d’écologie

Résumé


Kate Raworth est une économiste britannique qui s’est questionnée sur le fonctionnement et la raison d’être de notre modèle économique. Cela l’a amenée à proposer un objectif pour l’humanité : répondre aux enjeux sociaux et environnementaux du 21ème siècle. Ces enjeux sont résumés dans un schéma en forme de donut. Partant du constat que le modèle économique actuel ne permet actuellement pas d’atteindre l’objectif, elle a ensuite imaginé 7 principes pour faire évoluer l’économie vers une économie plus adaptée pour l’atteindre. Les 7 principes constituent la théorie du donut, rédigée dans un livre du même nom qui est un best-seller international depuis sa parution en 2017.


Introduction


Pourquoi un donut pour parler d’écologie ? Et d’ailleurs, parle-t-on d’écologie ou d’économie ? D’où vient ce donut ? Que représente-t-il ? À quoi peut-il servir ? Voilà un bien surprenant donut qui suscite pleins de questions !


Et nous allons tenter d’y répondre dans cet article ! Vous découvrirez comment ce fameux donut a vocation d’être « l’unique donut qui peut nous faire du bien » en proposant une visualisation simplifiée des grands enjeux du 21ème siècle. Et nous explorerons l’univers du donut au travers d’un résumé des 7 principes de la théorie du donut !


Mais avant, allons à la rencontre de sa créatrice. Dans les années 1990, Kate Raworth est étudiante à Oxford en économie. Au bout de ses études, elle ne se sent pas en phase avec les approches théoriques de l’économie qui lui sont enseignées, et décide d’aller affronter « les défis économiques du monde réel » en accompagnant les entrepreneurs locaux des villages de Zanzibar pendant 3 ans. Elle s’est ensuite installée à Manhattan pour travailler pendant 4 ans au siège de l’ONU à la rédaction des Rapports annuels sur le développement humain. Par la suite, elle a travaillé pendant 10 ans chez Oxfam pour lutter contre les défis sociaux du monde. À la suite d’une année en congé de maternité, elle revient avec une conviction : les théories économiques dominantes actuelles ne sont pas adaptées pour répondre aux enjeux du 21ème siècle. Elle décide donc de s’y intéresser pour pouvoir mieux les chambouler. C’est alors en 2011 qu’elle dessine le premier donut.

Depuis plusieurs années maintenant, elle poursuit une carrière universitaire et investit son temps pour développer et diffuser un nouveau regard sur l’économie au travers de ce qu’elle a appelé la théorie du donut. Son livre la théorie du donut est publié en 2017. Il présente sous la forme d’un essai 7 propositions pour transformer l’économie. Bien que la théorie soit jeune et fasse l’objet de certaines critiques, elle suscite surtout beaucoup d’inspiration voire d’adhésion comme en témoigne le franc succès de son livre à l’international. À travers ce livre, elle propose un nouveau regard sur l’économie. Les propositions de son autrice, et notamment le fameux donut, sont reprises dans le monde entier par des chercheurs, des militants ou encore des politiciens. Cela a impulsé bon nombre de recherches et de travaux pour approfondir et renforcer cette vision pour la rendre plus concrète et applicable.


Mais que contient cette théorie ? Et qu’est-ce que le donut ? Rentrons maintenant dans le vif du sujet !


Le concept du donut : une visualisation simple et complète des enjeux de la transition écologique


Selon Kate Raworth, pour repenser l’économie, il est d’abord essentiel de changer de but. Selon elle, les sciences économiques appliquent des théories économiques sans trop se questionner sur le but ou la finalité. Avant toute chose, il est donc important de se questionner sur les objectifs de l’humanité sur le long terme, avant de se questionner sur les moyens économiques pour les atteindre. Et c’est en tentant de dessiner ces objectifs que l’autrice a dessiné un truc qui ressemblait à un donut !


Plus concrètement, les enjeux du 21ème siècle peuvent être représentés en 2 cercles concentriques :

  • Un anneau externe représentant des limites écologiques à ne pas dépasser pour préserver notre environnement, qu’elle nomme le plafond environnemental

  • Un anneau interne représentant les objectifs sociaux à assurer pour garantir une justice sociale et une vie digne et épanouie pour tous et toutes, qu’elle nomme le plancher social

  • Entre ces 2 anneaux, se trouve l’espace dans lequel l’humanité s'épanouit et est en équilibre avec la planète : l’espace juste et sûr pour l’humanité.


donut écologique
Crédit : Bon Pote

Ainsi, le donut rassemble tous ces enjeux et représente visuellement l’objectif pour l’humanité : garantir une base sociale pour tous et toutes, tout en respectant l’environnement, et restant dans cet espace entre plancher et plafond appelé l’espace juste et sûr pour l’humanité. Autrement dit, il faut entrer et rester dans le donut !


Mais concrètement, peux-tu vraiment caractériser plancher et plafond ? Entrons maintenant dans l’univers du donut pour mieux comprendre de quoi il se compose. Et commençons par zoomer sur … le plafond environnemental !


Le plafond environnemental : préserver l’équilibre de la planète


Pour approfondir et mieux caractériser ce plafond environnemental, Kate Raworth s’est appuyée sur les frontières planétaires. Le concept des frontières planétaires est une approche scientifique créée par Johan Rockström et Will Steffen en 2009, et publiée dans Nature, puis revue et renforcée depuis. Une frontière planétaire est un seuil de pression sur l’environnement à ne pas dépasser pour maintenir un certain équilibre, une certaine stabilité avec l’environnement et préserver ses conditions d’habitabilité. En les dépassant, nous risquons de dégrader de manière significative l’environnement au point de déclencher des changement brutaux de l’équilibre de la planète. Autrement dit, en franchissant une frontière, nous risquons la survie de l’humanité. En effet, un changement brutal de l’équilibre planétaire ouvre des scénarios inconnus, qui peuvent nous mener vers une planète inhabitable pour 7 ou 8 milliards d’humains, des destructions massives d’écosystèmes, des génocides d’espèces et une catastrophe naturelle d’ampleur planétaire.


Toutefois, franchir une frontière n’implique pas nécessairement une fin du monde, cela implique surtout une augmentation de la probabilité d’un changement d’équilibre brutal. Pour résumer, franchir une frontière planétaire, c’est un peu comme jouer à la roulette russe à l’échelle de l’humanité et du vivant en mettant les mettant en grand danger.


À noter : nous utilisons le terme “frontières planétaires”, plutôt que le terme sans doute plus présent dans le débat public de “limites planétaires”, d’une part parce qu’il est plus fidèle au terme anglais (boundaries) et d’autre part parce qu’une limite donne l’image fausse d’un seuil ne pouvant être dépassé (alors que c’est le coeur même du concept !) tandis que la frontière peut l’être.

Prenons l’exemple du changement climatique. Il existe un seuil de concentration de CO2 dans l’atmosphère à partir duquel il devient possible que l’équilibre climatique se déstabilise fortement et brutalement (350 ppm -parties par millions- pour les connaisseurs). Dépasser ce seuil pourrait nous entraîner vers un nouveau climat planétaire inconnu.


Toutefois il faut nuancer ! Cela ne veut pas dire que c’est nécessairement ça qui va arriver, mais que c’est possible que ça arrive. Et cela ne veut pas dire non plus qu’avant de dépasser ce seuil, les conséquences du changement climatique sont absentes, mais qu’on peut brutalement en changer la nature et l’ampleur en dépassant ce seuil.


Plus généralement, chaque frontière est un seuil à ne pas dépasser associé à un enjeu écologique, et se caractérise à l’aide d’indicateurs de mesure. Ces frontières sont au nombre de 9, elles sont associées à des enjeux écologiques plus ou moins connus et vulgarisés et se caractérisent d’un ou de plusieurs indicateurs. Les frontières les plus connues (hormis le climat) et des exemples d’indicateurs qui les caractérisent sont présentés ci-dessous :

  • l’intégrité de la biosphère, l’un de ses deux indicateurs de mesure est le nombre d’extinctions par an par million d’espèce

  • la consommation d’eau douce (frontière aussi appelée cycle de l’eau), son indicateur est la consommation d’eau de surface et de nappe phréatique par an

  • la couche d’ozone, mesuré par la concentration en ozone dans la haute atmosphère (la “stratosphère”)

Les autres frontières sont peut-être moins connues du grand public, quelques explications sont présentées :

  • Changement d’usage des sols : Les surfaces terrestres utilisées par les êtres humains sont très importantes et il faut préserver des espaces naturels, notamment forestières

  • Perturbation des cycles biogéochimiques du phosphore et de l’azote : Ces cycles correspondent à des ensembles de transformations d’état et de milieu (eau, terre, air, biosphère). Ils sont notamment perturbés par la consommation de ces substances pour fabriquer des engrais agricoles, ainsi que par les déchets de l’agriculture et de l’élevage intensif.

  • Acidification des océans : Une partie du CO2 émis par les activités humaines est absorbée par les océans, qui se dissout et acidifie l’eau des océans. Cela perturbe les équilibres marins.

  • Charge en aérosols : C’est la présence d’aérosols dans l’atmosphère (on appelle aérosols les particules solides ou liquides qui sont suspendues dans l’air)

  • Nouvelles pollutions chimiques : rassemble différentes pollutions comme les plastiques, les perturbateurs endocriniens et d’autres substances toxiques

L’intérêt de ces indicateurs est de pouvoir estimer la situation réelle des différents enjeux et comparer cette réalité aux seuils définis par la théorie. Le visuel ci-dessous rassemble les 9 frontières planétaires et présente leur niveau de dépassement à ce jour.



Frontières planétaires


Chaque jauge représente une frontière, et, lorsque celle-ci dépasse la sphère verte, cela signifie un dépassement. D’après les dernières évaluations (2023), nous dépassons 6 des 9 frontières planétaires. En d’autres termes, nous dépassons le plafond environnemental du donut.


Le plancher social : garantir des bases de vie dignes et épanouissantes pour tous et toutes


Dans sa théorie, Kate Raworth propose une décomposition des besoins humains en 12 bases. Ces bases ont évolué depuis la création du donut. La version la plus récente présentée ci-dessous s’inspire des 17 Objectifs de Développement Durable.


Parmi ces bases, nous remarquons de premiers enjeux liés à l’accès aux ressources physiques :

  • Alimentation suffisante

  • Eau potable et conditions sanitaires décentes

  • Accès à l’énergie et à un équipement de cuisine propre

Ces bases se mesurent par des indicateurs concrets. Par exemple, le premier se mesure par le % de la population en sous-nutrition.


Ces bases se complètent de l’accès à différents services :

  • Accès à un logement correct

  • Accès à l’éducation

  • Accès aux soins de santé

  • Revenu minimum et travail digne de ce nom

  • Accès aux réseaux d’information et de soutien social

Pour donner un exemple d’indicateur, l’un des 2 indicateurs de l’éducation est le % d’enfants de 12 à 15 ans non scolarisés.


Et tout cela doit être atteint dans le respect de plusieurs principes :

  • Respect de l’égalité des sexes

  • Respect de l’équité sociale

  • Respect de la représentation politique

  • Respect de la paix et de la justice

Pour donner de derniers exemples d’indicateurs et montrer leur diversité, l’égalité des sexes se mesure par l’écart de représentation entre hommes et femmes au Parlement des Etats et l’écart mondial des salaires entre hommes et femmes.


Aucune de ces bases n’est acquise pour l’ensemble de l’humanité, et c’est ce qu’affichent les jauges intérieures du donut dans la partie suivante.


Le donut rassemble tous ces enjeux


Pour synthétiser tout cela, si nous reprenons le visuel des frontières planétaires et adoptons le l’affichage des indicateurs par jauge, nous obtenons le donut au complet, caractérisé par le plafond environnemental et les bases du plancher social. Ci-dessous, nous retrouvons le donut décomposé avec tous les enjeux qu’il couvre, et la représentation du dépassement par frontière planétaire, et de l’insuffisance par base sociale (date : 2020).


donut décomposé
dépassement par frontière


Ces visuels sont riches de sens et de contenu ! Ils rassemblent en un schéma enjeux environnementaux et sociaux divers, et les synthétisent en plafond et plancher. Ils permettent de comprendre en un coup d'œil la boussole que propose Kate Raworth pour l’humanité : rentrer dans l’espace sûr et juste. Ils montrent aussi quels sont les enjeux les plus critiques de notre époque par les dépassements et les insuffisances. C’est toute la force de ce schéma !


Mais pourquoi parler de donut, et pas simplement d’anneau par exemple ? Nous, humains, apprenons et retenons beaucoup par les images. L’autrice aurait choisi de le garder comme “l’unique donut qui peut nous faire du bien” car il faisait réagir son auditoire par son côté surprenant et décalé. Et ainsi, en plus de la puissance du schéma, il ajoute une image marquante au concept.


Vous connaissez maintenant le donut. Mais la théorie du donut va bien au-delà de cette représentation, et c’est ce que vous allez découvrir maintenant !


La théorie du donut en 7 principes pour repenser l’économie


Le donut présenté précédemment n’est que le point de départ de la réflexion de Kate Raworth. Après avoir clarifié un objectif pour l’humanité à l’aide de ce donut, l’économiste s’est ensuite questionné sur les moyens pour l’atteindre : “si le but de l’humanité est d’entrer dans le donut, quelle conception économique nous offre les meilleures chances d’y parvenir ?”. Et sa réponse se décompose en 7 principes. En voici un résumé très simple et non exhaustif rédigé pour permettre au lecteur de cerner le type de propositions de cette théorie !


En premier principe, changer de but. En regardant l’histoire de l’économie du XIXème et XXème siècle, elle constate que la croissance du PIB s’est progressivement imposée comme objectif principal. Elle propose un nouveau but : “atteindre la prospérité humaine dans un réseau de vie florissante”. Autrement dit, rentrer dans le donut !


Deuxième principe, prendre en compte l’ensemble du tableau. La modélisation de l’économie doit considérer l’économie non pas comme un système isolé, mais comme faisant partie d’un contexte plus large. Ses éléments (les entreprises, l’Etat, la finance, le marché et les communs) doivent être repensés dans leurs rôles au sein de l’économie, et être considérés comme intégrés dans un ensemble plus grand : la société, qui elle-même s’intègre dans un environnement plus grand : la planète Terre.


Troisième principe, cultiver la nature humaine. L’être humain n’est pas simplement un Homo Economicus rationnel avec une calculette à la place du cerveau, qui détermine son comportement à l’aide d’un calcul de l’utilité maximisée ! C’est un être complexe car se définit par de nombreuses caractéristiques, et qui doit être considéré comme tel.


Quatrième principe, mieux connaître les systèmes. Il faut sortir des approches linéaires pour étudier et modéliser l’économie car c’est un système complexe, avec des interconnexions entre les éléments et des comportements non linéaires. Une approche plus systémique serait donc plus adaptée.


Cinquième principe, redessiner pour redistribuer. Contrairement au courant économique dominant qui pense que la réduction des inégalités viendra avec la croissance, il faut concevoir la redistribution au cœur du modèle. Par rapport au modèle actuel qui intègre une redistribution des revenus, il faudrait intégrer plus généralement une redistribution de l’ensemble des richesses.


Sixième principe, créer pour régénérer. Le courant économique dominant semble penser que la croissance va permettre de se doter des moyens pour réduire nos impacts sur l’environnement. De même que pour le cinquième principe, il faut concevoir la préservation de l’environnement par sa régénération dès la conception du modèle.


Septième et dernier principe, être agnostique avec la croissance, c’est à dire mettre le concept à distance sans rentrer dans le débat pour/contre : l’imaginaire de la croissance est fortement présent dans notre culture occidentale, et se serait imposé comme but ultime de l'économie (cf. premier principe). Mais nous avons besoin de sociétés qui s’épanouissent, qui prospèrent, et non qui croissent nécessairement. Il faut donc changer de logiciel : ne pas viser une croissance infinie mais viser un épanouissement et une prospérité équilibré.


C’est par ces 7 principes que Kate Raworth propose de repenser l’économie. Pour en savoir plus, qui de mieux que Kate pour vous en parler ? Nous vous recommandons de visionner son intervention à TEDtalk en 2019.


Les limites et critiques principales de la théorie


Cette théorie est jeune, et bien qu’elle rencontre un franc succès, elle s’expose aussi à diverses critiques. En voici quelques unes :

  • Les arguments de la théorie sont débattus ! Ils sont contestés dans le monde des économistes, comme par exemple les limites de la croissance liées à l’environnement, mais Kate Raworth a répondu à la plupart d’entre eux.

  • Certains experts ou militants accusent un manque de prise de position politique claire, notamment sur le sujet de la décroissance.

  • Certains critiquent une approche trop anthropocentrée visant à répondre aux besoins des êtres humains sans réelle considération pour le Vivant, notamment par l'appellation de l’espace intérieur du donut (“Espace sûr et juste pour l’humanité”), bien que la finalité reste de vivre en équilibre avec l’environnement.

  • Son applicabilité est questionnée, ce qui peut se comprendre étant donné la jeunesse de la théorie. À ce titre, Kate Raworth a fondé le Doughnut Economics Action Lab, qui travaille à la précision et l’approfondissement de la théorie pour en déduire des principes et outils plus concrets et applicables.


Conclusion et ouverture


En bref, le donut est un concept imagé qui représente l’ensemble des enjeux sociaux et environnementaux du 21ème siècle, c’est donc un symbole qui peut servir de boussole pour l’humanité.


Dans son livre la théorie du donut, Kate Raworth pointe des limites à la théorie économique actuelle, et propose de la faire évoluer en 7 principes pour qu’elle soit adaptée au défi du siècle : rentrer dans le donut.


Avec l’atelier 2tonnes, nous voulons en 3h impulser ou renforcer des démarches d’actions efficaces et positives pour la transition écologique chez un maximum de participants et participantes. Le contenu de l’atelier couvre de nombreux sujets : des connaissances générales comme l’Accord de Paris, l’objectif des 2tonnes, l’empreinte carbone, et des notions liées à la comptabilité carbone et ses ordres de grandeur, à travers les actions individuelles et collectives pour la transition écologique sur tous les secteurs. Il présente également une vision systémique de la transition, par la complémentarité entre les natures des actions et l’implication de tous les acteurs de la société.


Nous avons choisi de ne pas densifier et complexifier l’atelier en n’intégrant pas directement et explicitement les 7 principes issues de la théorie du donut. Néanmoins les questions posées par Kate Raworth sont intéressantes, certaines peuvent se poser indirectement, partiellement, être évoquées ou effleurées selon les groupes, leurs connaissances et sensibilités. Car l’atelier amène des questionnements proches de ceux de la théorie du donut.


Nous pensons néanmoins que le donut est un excellent outil pédagogique et de sensibilisation pour donner une vision large, systémique, positive et inspirante de la transition écologique. C’est pourquoi nous avons choisi de l’intégrer dans l’atelier 2tonnes en tant que boussole pour la transition écologique qui permet de garder un recul sur les actions écologiques, au-delà de leur impact sur le climat. Selon nous, c’est un outil qui a un énorme potentiel et mérite d’être diffusé le plus largement possible. Bref, nous avons "donutisé" l’atelier, et ce pour 4 raisons qui sont développées dans d'autres articles qui vont paraître progressivement ! C'est le principe de notre opération donut : profiter de notre mise à jour de l'atelier pour parler du donut et de pédagogie !




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